La prise de Saigon

La mémoire s’écrit en cercle. Comme elle devait s’achever un siècle plus tard dans   un camp retranché à quelque deux mille kilomètres au nord, la présence s’ouvrit sur  un camp retranché de deux cents hommes arrimés à la berge de la rivière derrière ses lignes de défense… Ce onzième et dernier motif de Confettis d’empire, « La prise de Saigon », referme le voyage intérieur ouvert sur la dernière bataille.

— Car ce nom de Diên Biên Phu est bien curieux, se disait l’historien, on aimerait bien savoir ce que contient ce nom-là.

Ce contenu a été publié dans éditoriaux. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.