A l’occasion de la lecture ou relecture du huitième motif de Confettis d’empire, « Traces parisiennes », lançons-nous à la suite de Walter Benjamin : « […] Il y a, par exemple, la place du Maroc à Belleville : lorsque je le découvris un dimanche après-midi, ce triste amas de pierres avec ses maisons de rapport devint pour moi, non seulement un désert marocain, mais aussi et surtout un monument de l’impérialisme colonial ; la vision topographique s’entrecroisait en lui avec la signification allégorique, et il n’en perdait pas pour autant sa place au cœur de Belleville. » (Paris, capitale du XXe siècle, éditions du Cerf, 2002, p. 535)
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