Doux babils à Babylone

Tu m’as fait peur – CUVIER – Shoote ! Dans les nichons ! Et la nuit, c’est bon alors ? On va voter. Quoi ? On va voter ! Elle s’intéresse à la première guerre mondiale, des trucs comme ça. À la guerre comme à la guerre – RASPAIL-RÉPUBLIQUE – Qu’est-ce que vous faites-là ? Rentrez chez vous. Je cherche des sans-papier. Ils restent un an. Ils viennent apprendre le français – ROBESPIERRE-MÉTRO – Tu peux y aller mon ange. Tant que tu nous vois. Son vélo est un peu grand pour lui. C’est lui qui a demandé à enlever les roulettes. Il a refusé le vélo sans pédales. Tu veux aller sur ton vélo ? On va au manège, Papa ? – VICTOR HUGO – Avec quel médecin ? Ce ne sera pas avant le 14 juin. Qu’est-ce qui vous arrange ? Je n’ai que le 15 au soir. Madame ? Ça s’écrit ? – RÉPUBLIQUE-ROBESPIERRE – Je suis allé dans le salon. La salle de bain. Toutes les pièces étaient allumées. Tu comprends pas la souffrance. Tu avais fermé à double tour ? – GÉNÉRAL DE GAULLE – Ça c’est les yeux et là c’est la bouche et ça c’est son nez. Tiens, il y a du soleil. J’ai peur. Soixante euros, tu m’as dit ? T’as fait une bonne affaire dis donc. Ah ! Je me mets-là. La pluie s’est arrêtée. Ouf ! On est parti chez Ikéa. Ouf ! Vous avez un mariage avant, non ? Ce qui est bien quand il n’y a pas trop de monde c’est que tu peux t’approcher et voir les détails des tableaux. Cela fait vingt-six minutes qu’on court – GALLIENI – Voilà, exactement. Bien. Écoutez, euh, je vais vous la passer. Voilà. Alors à plus tard.

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